|
| New home, new life. || Dunchéri | |
| Auteur | Message |
---|
I'm Gabin T. McGowan
→ MESSAGES : 55 → CÉLÉBRITÉ : Tom Hiddleston → DOUBLE COMPTE : Ava M. Hallaway → CRÉDITS : TayLor → QUARTIER : Paradise Island → AGE : 31 ans → STATUT CIVIL : En couple avec un journaliste qui pointe du doigt les méchants ! → EMPLOI/ÉTUDES : Animateur radio officiellement, chef d'un gang officieusement.
| Sujet: New home, new life. || Dunchéri Dim 23 Sep 2012 - 15:13 | |
| Gold Coast, une nouvelle ville pour une nouvelle vie ? Gabin l'espérait. Londres ne voulait plus d'eux, quitter son pays d'origine était plus dur qu'il ne l'avait imaginé. Il n'avait certes pas passé beaucoup de temps dans ce pays mais tout de même. C'est dans ce pays qu'il avait rencontré Duncan, son petit-ami actuel alors qu'au début il n'y avait que le physique entre eux. Rien d'étonnant venant de la part de Gabin qui est du genre à ne pas s'attacher pour la simple et bonne raison qu'il avait peur de se faire abandonner. Une peur idiote mais qui était légitime. Et puis dès que quelqu'un voulait rentrer dans sa vie ça ce finissait mal. Il avait fait une exception pour Duncan en le faisant rentrer intimement dans sa sphère intime mais du coup c'était un poids en plus. Gabin le cachait précieusement pour ne pas que le gang mette la main sur lui, il avait tellement peur qu'il lui arrive quelque chose qu'il avait toujours une arme dans la table de chevet. Être le chef d'un Gang n'était pas de tout repos, certes cela rapportait bien du coup il pouvait offrir à Duncan tout ce qu'il voulait mais en contre parti les risques du métier était grand. De plus, même s'il avait prit goût à tout ça, il ne perdait pas de vu son objectif : exécuter celui qui avait tué son père. Cette espèce de vielle vendetta qui le tuera probablement un jour ne quittait jamais Gabin. Même son petit-ami ne savait pas au combien cette idée l'obsédait, il en rêvait la nuit et se réveillait en sursaut, en sueur dans son lit. Généralement il ne pouvait même pas se rendormir et se levait pour aller régler des affaires ou bien préparer ses émissions.
Ainsi donc, ils avaient prit tôt l'avion, décalage horaire oblige. Gabin avait prit soin de voyager en première classe, ainsi il était plus tranquille avec son Duncan. Dur de se retenir de faire quoique ce soit par contre. Bah oui notre animateur était un peu accro au corps de son petit-ami. Il aimait tout chez lui, depuis bien longtemps il avait enfin l'impression d'être compris, accepté. Après tous ce qu'ils avaient vécut, plus rien ne pourrait les séparer. Il l'espérait de tout son cœur. Pour Duncan il avait changé, il montrait plus ses sentiments et était plus ouvert. Il n'était pas du genre à parler ou bien à dire ce qu'il ressentait avant sa rencontre avec le journaliste. Lorsque ce dernier lui avait annoncé qu'il fallait qu'il quitte la ville, Gabin ne pouvait s'empêcher de penser que c'était le destin. Lui aussi devait partir de Londres pour aller à Gold Coast et diriger la branche du gang. Duncan sait vaguement cette information mais encore une fois il faisait attention de le laisser en dehors de tout ça. Moins il en savait, plus il était en sécurité. Duncan avait souvent parler à Gabin qu'il aimerait avoir une maison près de la plage, comme il était prêt à tout pour lui, il avait trouvé la perle rare. En sortant de l'aéroport, il sortit un foulard de sa valise pour bander les yeux de Duncan en susurrant :
« J'ai une surprise pour toi... »
Gabin aida Duncan à marcher jusqu'à un taxi, donna l'adresse sur un papier pour ne rien dévoiler à son petit-ami. Dans la voiture, il se permit de déposer un baiser dans son cou tout en posant une de ses mains sur ses cuisses. Il était impatient de voir sa réaction. Une fois arrivé, il paya le taxi, aida Duncan à sortir avant de décharger les valises. Il les laissa sur le trottoir et lentement défis le nœud :
« On va pouvoir se construire une nouvelle vie, les pieds dans l'eau comme tu l'as toujours rêvé... »
|
| | |
I'm Duncan Burnett
→ MESSAGES : 83 → CÉLÉBRITÉ : Mathias Luaridsen → DOUBLE COMPTE : un jour peut-être... → CRÉDITS : Pour l'avatar c'est moi (Creamy Cheese) ^^ Le reste on verra !! → QUARTIER : Paradise Island → AGE : 26 ans → STATUT CIVIL : en couple avec un animateur radio qui voudrait me protéger d'un monde où le danger est permanent → EMPLOI/ÉTUDES : journaliste
More about me→ RELATIONSHIP: → HUMEUR: AMOUREUX ♥→ PLAYLIST: Christina Aguilera - Your body
| Sujet: Re: New home, new life. || Dunchéri Dim 23 Sep 2012 - 15:43 | |
| Quitter son pays natal était une drôle d’expérience, qui serrait le cœur mais faisait aussi naître un nouvel espoir. Duncan aimait cette idée, d’autant qu’il ne partait pas seul. Gabin partageait sa vie depuis un peu plus d’un an et ils avaient traversé beaucoup d’épreuves ensemble. A présent, c’était comme si tout cela était derrière eux. Partir pour l’Australie était comme la démonstration concrète de l’expression aller de l’avant. Cette idée le séduisait. C’était en imaginant cette nouvelle vie qu’il avait fait ses valises, qu’il avait dit au revoir à leur petit appartement de Londres et qu’il était monté dans l’avion, en première classe.
Mais à présent qu’il posait le pied sur le sol australien, il se sentait épuisé. Le décalage horaire, l’inactivité durant le trajet, tout cela lui pesait et il en avait plein les pattes. Il espérait que Gabin leur avait trouvé un bon hôtel. Il avait bien envie d’un bon bain moussant, d’un peu de sexe et d’une bonne nuit de sommeil. Mais lorsque son petit ami lui banda les yeux, il se demanda s’il devait s’attendre au pire.
Gabin avait donc une surprise pour lui ? Duncan sourit mais ne répondit pas, laissant son amant le guider. Durant tout le trajet en taxi, et même après, il ne put lâcher la main de l’homme qu’il aimait. Son contact était rassurant, réconfortant, chaleureux. Le jeune journaliste songeait à tout ce qu’ils pourraient construire dans cette nouvelle vie qui s’ouvrait devant eux. Peut-être même avoir une famille bien à eux. Une vraie. Avec des enfants et un chien. Dunc’ voulait un chien. Ils avaient dû laisser le leur à Londres pour ne pas le perturber et il lui manquait terriblement.
Lorsqu’ils sortirent du taxi, Duncan failli s’étaler sur le sol mais Gabin le rattrapa. Au passage, le journaliste en profita pour lui voler un baiser, puis il éclata de rire. Il entendit le taxi repartir après que Gabin eut déposé les bagages sur le sol, puis son entrave lui fut retirée et la vue lui fut rendue. Lorsqu’il vit la maison, Duncan resta bouche bée un long moment. Il prit la main de Gabin à nouveau, le regarda en ouvrant la bouche puis se tourna à nouveau vers la maison.
« C’est à nous ? » demanda-t-il, émerveillé. « J’veux dire, vraiment à nous ? »
L’excitation s’entendait dans sa voix. Tout son corps tremblait et son cœur battait la chamade dans sa poitrine. L’émotion le submergeait. Lorsqu’il laissa enfin éclater sa joie, il retira sa casquette et sauta dans les bras de son amant, enroulant ses jambes autour de sa taille. Les bras passés autour de son cou, il plongea ses yeux dans ceux de Gabin.
« Est-ce que tu sais à quel point je t’aime ? » lui demanda-t-il amoureusement.
Il déposa un tendre baiser sur les lèvres de son petit ami. Il tourna la tête vers la maison, puis à nouveau vers le visage de l’homme qu’il aimait. Oui, une nouvelle vie les attendait ici. Une nouvelle vie qui démarrait très bien. Leur amour allait grandir encore, devenir de plus en plus fort. Ensemble, ils soulèveraient des montagnes.
Même s’il l’avait voulu, Dunc’ n’aurait pas pu effacer son sourire. C’était peut-être le plus beau jour de sa vie. Un beau pays, une belle maison, un homme magnifique à ses bras. Que pouvait-il demander de plus ?
|
| | |
I'm Gabin T. McGowan
→ MESSAGES : 55 → CÉLÉBRITÉ : Tom Hiddleston → DOUBLE COMPTE : Ava M. Hallaway → CRÉDITS : TayLor → QUARTIER : Paradise Island → AGE : 31 ans → STATUT CIVIL : En couple avec un journaliste qui pointe du doigt les méchants ! → EMPLOI/ÉTUDES : Animateur radio officiellement, chef d'un gang officieusement.
| Sujet: Re: New home, new life. || Dunchéri Dim 23 Sep 2012 - 20:56 | |
| Gabin était excité à l'idée de pouvoir vivre une nouvelle vie ici, pouvoir vivre enfin. Certes il devra encore se cacher pour ne pas que le gang apprenne qu'il était avec un homme mais ce n'était pas grand chose comparé à toutes les choses qui s'offraient à eux. Il prenait un nouveau départ avec Duncan : que demander de plus. Certes il stressait de savoir si la maison allait lui plaire, si son petit-ami allait se faire à une autre ville que Londres. Gabin n'avait fait que déménagé, bouger depuis qu'il est enfant donc cela ne le dérangeait pas de changer de pays bien au contraire c'était devenu essentiel pour lui de casser le train train quotidien. Si Duncan pouvait comprendre ça : Gabin serait encore plus heureux. Le chef de gang n'avait prit que le strict minimum, si jamais ils avaient besoin de quelque chose eh bien il pourrait le racheter directement sur place. Il avait déjà tout prévu, tout était orchestré au millimètre près. Gabin n'avait plus qu'à suivre le fil conducteur. Après avoir bandé les yeux, il devait rassurer Duncan sur la situation : marcher les yeux bandés n'étaient pas chose facile encore plus de ne pas savoir où on était emmené. C'est pour ça que dans le taxi il embrassa délicatement son cou et serra sa main. Une fois arrivé, Gabin était encore plus excité, il attendait la réaction de Duncan avec impatience. Après tout ils allaient vivre ensemble dans cette maison alors si ça ne lui plaisait pas... Mieux valait ne pas y penser. Le baiser voler de Duncan le fit rire et le rassura : au pire leur couple était plus fort et ce n'était pas une maison qui allait gâcher ça. L'animateur radio s'arrêta de respirer en enlevant le bandeau des yeux de son petit-ami. En voyant sa réaction, il ne pouvait s'empêcher de sourire. Il était content de voir que cela lui plaisait, il savait que c'était dur pour Duncan de quitter Londres alors si cela pouvait alléger son cœur et lui permettre de mieux accepter l'Australie et bien il était satisfait. Le but était de lui changer les idées et de lui montrer tous les avantages que pouvait avoir la vie ici. McGowan savait que Duncan aimait la plage, alors acheter une maison près de ce qu'il aimait était quelque chose que Gabin voulait faire pour lui. Lorsqu'il demanda à Gabin si c'était à eux, il hocha positivement de la tête : « Oui, à nous, elle te plaît ? »
L'animateur radio se mit à rire, en le voyant trembler, il va se mettre derrière lui pour le rattraper si besoin pour ne pas qu'il se fasse mal. Duncan sauta dans ses bras, Gabin le serra contre lui et posa ses mains sous ses fesses pour le maintenir. Un sourire malicieux s'afficha sur son visage tandis que Duncan lui demandait s'il savait qu'il l'aimait.
« Non... J'attends que tu me le montres tout à l'heure... Je te fais visiter ? »
Gabin souriait et répondit à son baiser tendrement, il chuchota alors :
« Il y à encore une surprise qui t'attends... »
Gabin décrocha les jambes de Duncan, attrapa les valises avant d'ouvrir la porte en grand pour que leur chien Orson sorte et se jette sur son petit-ami :
« J'ai finalement réussit à le faire venir, j'ai eut un mal fou mais il est avec nous. On pouvait pas laisser notre chien tout seul quand même hein ? »
Gabin rappela leur chien et rentra en posant les valises dans le salon avec une grande baie vitre sur la mer et la plage. Il ferma la porte et profita que Duncan soit de dos pour se coller à lui et passer ses mains sous son t-shirt et caresser son ventre :
« Je te fais visiter ? » |
| | |
I'm Duncan Burnett
→ MESSAGES : 83 → CÉLÉBRITÉ : Mathias Luaridsen → DOUBLE COMPTE : un jour peut-être... → CRÉDITS : Pour l'avatar c'est moi (Creamy Cheese) ^^ Le reste on verra !! → QUARTIER : Paradise Island → AGE : 26 ans → STATUT CIVIL : en couple avec un animateur radio qui voudrait me protéger d'un monde où le danger est permanent → EMPLOI/ÉTUDES : journaliste
More about me→ RELATIONSHIP: → HUMEUR: AMOUREUX ♥→ PLAYLIST: Christina Aguilera - Your body
| Sujet: Re: New home, new life. || Dunchéri Dim 23 Sep 2012 - 21:25 | |
| Toujours accroché au cou de Gabin, Duncan l’écouta attentivement. Il couvrait son front, ses joues, son cou de baisers tout en souriant. Oui, il n’y avait pas à dire, la surprise était plus que réussie. Une maison en bord de mer, avec un homme dont il aimait absolument tout, ce serait génial. Mais, Orson lui manquait tout de même terriblement. Ce chien était tellement adorable, tellement proche d’eux. Dunc’ ne savait pas vraiment s’ils pourraient le remplacer un jour.
« Je te le montrerai même plusieurs fois mon amour… » répondit-il, coquin.
Il accepta le baiser de Gabin et lui sourit. Une autre surprise ? Quel genre de surprise ? Gabin allait lui faire un strip-tease ? Ils avaient une piscine intérieure ? Quoi donc ? Duncan plissa les yeux et regarda son petit ami d’un air suspicieux. Ce dernier le reposa par terre, prit les bagages et, alors que Duncan remettait sa casquette, il ouvrit la porte. Orson, un magnifique bosseron d’un an, vint leur faire la fête. Le journaliste le prit dans ses bras et lui fit des câlins.
« ORSON !! » s’exclama-t-il. « T’es là toi aussi !! »
Les larmes au bord des yeux, il emboîta le pas à son petit ami, qui rappelait le chien. Duncan lui fit un signe de l’index qui lui ordonnait silencieusement de marcher à son pied. La bête s’exécuta avant d’aller se coucher dans son panier en remuant la queue. Duncan s’avança vers la baie vitrée, le regard plongé dans l’eau bleue. Il se sentait déjà chez lui. Les bras de Gabin vinrent l’entourer et se glisser sous son T-shirt pour caresser son ventre. Dunc’ bascula la tête en arrière pour la poser sur l’épaule de son petit ami.
« T’es fou ! » chuchota-t-il près de son oreille. « Mais c’est pour ça que je t’aime… »
Il se blottit tout contre son amant et ils regardèrent la mer ensemble. C’était vraiment beau. Ils seraient vraiment bien ici. Duncan avait déjà une petite idée de déco dans la seule pièce qu’il avait vue. Il s’écarta lentement de Gabin et alla se chercher une cigarette, qu’il alluma en en proposant une à son petit ami. Ici, ils allaient reconstruire leur vie. Duncan souhaitait même reprendre son activité de journaliste. Il avait des idées, des projets. Ils ne se concrétiseraient peut-être jamais mais c’était important d’en avoir. Il reprit sa place dans les bras de Gabin, l’endroit où il se sentait le mieux, le plus en sécurité. Orson vint s’asseoir à leurs pieds.
« On va être bien ici… » dit-il.
Il se sentait bien, incroyablement accompli, épanoui. Il aimait cet endroit. Au bout de quelques minutes, il prit la main de son petit ami et se retourna.
« Fais-moi visiter ! » dit-il tendrement. « On terminera par la chambre… »
Il adressa à Gabin un petit sourire coquin qui traduisait exactement ce qu’il pensait. Oui, il aimait cet endroit. Oui, il serait bien ici. Mais plus que tout, plus qu’au bord de la mer, plus que journaliste, il voulait être avec l’homme qu’il aimait. Tout le reste importait peu.
|
| | |
I'm Gabin T. McGowan
→ MESSAGES : 55 → CÉLÉBRITÉ : Tom Hiddleston → DOUBLE COMPTE : Ava M. Hallaway → CRÉDITS : TayLor → QUARTIER : Paradise Island → AGE : 31 ans → STATUT CIVIL : En couple avec un journaliste qui pointe du doigt les méchants ! → EMPLOI/ÉTUDES : Animateur radio officiellement, chef d'un gang officieusement.
| Sujet: Re: New home, new life. || Dunchéri Lun 24 Sep 2012 - 10:35 | |
| Gabin savourait chaque baiser que son petit-ami lui donnait, il le serrait doucement dans ses bras. Cela lui faisait chaud au cœur de voir que ça lui plaisait. Peut-être que Duncan s'habituerait plus vite à ce nouvel environnement. Il fallait voir ça comme une aubaine, une chance de faire leur petit cocon sans que les histoires du passés interfères. Un sourire malicieux continuait de s'afficher sur le visage de Gabin qui ne voulait pas lâcher Duncan. Pourtant il le devait parce que la visite ne s'arrêtait pas là, ni les surprises d'ailleurs. En ouvrant la porte, il savait que leur chien Orson était derrière. L'animateur avait offert ce chien à son petit ami pour le protéger au cas où des membres du gang viendraient. Il comptait bien petit à petit lui apprendre à attaquer suivant les gens qui rentreraient à la maison. Mais ça Duncan ne le saura pas, il ne préférait pas l'inquiéter, si jamais il arrivait quoique ce soit à son petit-ami : Gabin deviendrait une machine à tuer. Duncan était le seul rempart qui l'empêchait d'être un homme froid et sanguinaire, il était devenu ce que son père chassait ardemment sans s'en rendre compte pour le venger. On pourrait se croire dans un conte Grimm ou bien de Tim Burton avec une fin tragique. En voyant Orson et Duncan ensemble, Gabin en profita pour rentrer les valises et laisser son petit-ami savourer ces retrouvailles. Devant la baie vitrée, la tentation de se mettre derrière Duncan était trop grande et c'est sans résister à cette envie que l'animateur radio s'approcha de lui pour caresser son ventre. Il déposa un baiser dans son cou et ferma doucement les yeux. Un sourire s'affichait sur son visage tandis que Duncan disait que c'était parce qu'il était fou qu'il l'aimait. Gabin resserra son étreinte et respira doucement :
« Rien que pour ça... ? »
Il laissa Duncan sortir de ses bras pour aller se chercher une clope, il attrapa celle que lui tendait son petit-ami et l'alluma. Gabin gardait un sourire sur son visage, Duncan était une des rares personnes à le voir sourire sincèrement, surtout lorsqu'il affirma qu'ils seraient bien ici :
« Je suis soulagé de voir que tu aimes, c'est le principal à mes yeux. Je te laisse le soin de décorer cette maison comme tu veux, je te fais confiance. »
Gabin entrelaça ses doigts et serra la main de son petit-ami qui avait des idées... Intéressante et qui plaisait à l'animateur. Rien que d'y penser, une vague de chaleur monta en lui, il se contenta de l'embrasser tendrement en enserrant de ses mains son visage avant de reprendre sa main et de l'emmener dans la cuisine, puis la salle de bain du rez-de-chaussé avec une grande baignoire, avant de passer à l'étage et montrer l'autre salle de bain, l'immense dressing ainsi qu'une petite chambre encore vide. Gabin lança un regard complice à Duncan sans pour autant dire quelque chose puis il se glissa derrière lui pour venir lui cacher les yeux :
« Juste à côté de notre chambre il y a... »
Gabin l'emmena dans un bureau tout beau, tout neuf, avec un ordinateur portable également neuf :
« Ton bureau pour que tu continues d'écrire tes articles et me les faire lire. »
Il enleva ses mains pour laisser Duncan découvrir. Les bras croisés, appuyer sur l'encadrement de la porte il précisa :
« Tu as vu ? Tu peux voir la mer de là où tu es, même quand tu es assis. »
|
| | |
I'm Duncan Burnett
→ MESSAGES : 83 → CÉLÉBRITÉ : Mathias Luaridsen → DOUBLE COMPTE : un jour peut-être... → CRÉDITS : Pour l'avatar c'est moi (Creamy Cheese) ^^ Le reste on verra !! → QUARTIER : Paradise Island → AGE : 26 ans → STATUT CIVIL : en couple avec un animateur radio qui voudrait me protéger d'un monde où le danger est permanent → EMPLOI/ÉTUDES : journaliste
More about me→ RELATIONSHIP: → HUMEUR: AMOUREUX ♥→ PLAYLIST: Christina Aguilera - Your body
| Sujet: Re: New home, new life. || Dunchéri Lun 24 Sep 2012 - 11:05 | |
| Il aimait. Bien évidemment qu’il aimait ! C’était la maison de ses rêves de gosse ! Gabin le connaissait vraiment bien. Duncan se laissa embarquer pour la visite de la maison, faisant signe à Orson de le suivre. D’un pas allègre, le bosseron trotta à ses pieds, la tête haute et la queue en l’air. Il était content de revoir ses maîtres, surtout Dunc’ qui bossait à la maison et qui se trouvait donc constamment en présence du chien. La maison était immense. Une superbe cuisine – l’endroit que Duncan aimait le moins – avec frigo américain, plaques à induction et autre matériel dernier cri. Une salle de bain immense avec une baignoire, un chauffe-serviettes et beaucoup de rangements. Ils montèrent à l’étage par un escalier de bois blanc moderne. Une autre salle de bain, avec une douche cette fois. Une chambre vide qui fit tout de suite tilt chez lui. Il regarda Gabin, interrogatif, mais ne fit aucun commentaire. Ils s’étaient parfaitement compris.
Et puis Gabin lui cacha à nouveau les yeux pour le conduire dans une pièce qu’il avait aménagée spécialement pour lui. Son bureau. Duncan sourit à la mention de ses articles et, lorsque Gabin retira ses mains, il eut le souffle coupé par la beauté de la pièce. Entièrement moderne, avec une déco zen et nature, ce bureau était immense. Une fois de plus, Gabin lui prouvait qu’il le connaissait bien. Baie vitrée donnant sur un balcon, vue sur la mer de quasiment tous les angles de la pièce, c’était le rêve.
Duncan se retourna, enroula ses bras autour du cou de son petit ami et l’embrassa passionnément. Orson, quant à lui, allait déjà renifler le panier qui était posé sous le bureau. Il aimait bien être avec Duncan, au calme, quand il écrivait. Lorsque les lèvres de Gabin et du journaliste se séparèrent, Orson poussa un petit grognement, comme s’il ne voulait pas que ses maîtres arrêtent de s’embrasser. Dunc’ rit et se dirigea vers son bureau. Il se pencha, prenant appui sur le siège en cuir, et ouvrit l’appareil. Un des derniers modèles de sa marque favorite. Mais quelque chose le gêna soudain. Une odeur. Son cœur se souleva et il eut l’impression que son estomac se retournait.
Il porta une main à sa bouche et prit une profonde inspiration. Intrigué, Orson s’était redressé, les oreilles dressées vers l’avant. Duncan le regarda et s’efforça de lui sourire. Une main toujours appuyée sur le siège, l’autre sur son estomac, il ferma les yeux et inspira une nouvelle fois. Sa tête tournait légèrement. Il prit le temps de se calmer, espérant que Gabin ne remarquerait pas son étourdissement passager, certainement dû à la fatigue, au décalage horaire et au voyage en avion, dont il n’avait pas l’habitude.
Alors que son malaise commençait à s’estomper, il retourna se blottir dans les bras de son petit ami en faisant comme si de rien n’était. Il entoura le cou de Gabin de ses bras et le regarda dans les yeux en souriant. Il aimait cet homme.
« Merci pour ce bureau mon amour. » dit-il. « Mais t’as une pièce pour toi aussi ? Je vais pas vivre tout seul ici, si ? »
Il rit de bon cœur. Son malaise était passé et, après une bonne nuit de sommeil, il irait bien mieux. Un bon bain moussant avec une coupe de champagne et Gabin, une petite partie de jambes en l’air et une bonne nuit de sommeil, et il serait requinqué. Il déposa un baiser sur les lèvres de l’homme qu’il aimait.
|
| | |
I'm Gabin T. McGowan
→ MESSAGES : 55 → CÉLÉBRITÉ : Tom Hiddleston → DOUBLE COMPTE : Ava M. Hallaway → CRÉDITS : TayLor → QUARTIER : Paradise Island → AGE : 31 ans → STATUT CIVIL : En couple avec un journaliste qui pointe du doigt les méchants ! → EMPLOI/ÉTUDES : Animateur radio officiellement, chef d'un gang officieusement.
| Sujet: Re: New home, new life. || Dunchéri Lun 24 Sep 2012 - 11:48 | |
| Plus la visite avançait, plus Gabin se sentait bien, se sentait à l'aise dans cet environnement qui serait le leur. Il avait une confiance aveugle en Duncan niveau décoration. Son petit-ami avait bon goût et à quelques détails près ils aimaient la même chose. Orson les suivait de près comme si il avait peur que ses maîtres ne repartent en le laissant seul. Gabin aimait ce chien mais beaucoup d'affaires lui demandait d'être mobile du coup il n'avait pas passé beaucoup de temps avec ce jeune chiot qui pourtant l'appréciait. Le clou du spectacle était son nouveau bureau pour ne pas qu'il soit dérangé. Le panier sous le bureau pour Orson, le nouvel ordinateur, Gabin avait mis les petits plats dans les grands. Il voulait vraiment que Duncan soit bien dans ce nouvel environnement, encore mieux que dans leur ancien appartement bien que ce dernier manquait déjà à l'animateur. Son regard ne quitta pas des yeux sont petit-ami qui continuait de découvrir les détails qu'on ne voit pas tout de suite. Gabin passa ses bras sur ses hanches pour le serrer contre lui en répondant à son baiser. Le rire de Duncan entraîna celui du chef de gang. Ce rire qu'il aimait tant emplissait la pièce d'un bonheur insouciant. Signe de promesse, de nouveauté, une euphorie comme quand on ouvre un cadeau à Noël.
Pourtant, Gabin perdit rapidement son rire en voyant que Duncan avait posé sa main devant sa bouche et qu'il respirait profondément. Même Orson avait remarqué, l'animateur radio se garda bien de dire quelque chose et préféra se taire mais ne quitta pas du regard son petit-ami. Quelque chose n'allait pas, il ne fallait pas prendre le chef du gang pour un idiot : Gabin voyait bien que ça n'allait pas. Il décroisa ses bras pour s'approcher de lui, il serra contre lui le corps frêle de Duncan et embrassa son cou en le soulevant légèrement.
« Je m'installerai à côté de toi plus tard, tu sais bien que je n'aime pas trop travailler à la maison, je préfère m'y reposer. »
Duncan se mit à rire de nouveau, Gabin ne savait pas si c'était pour cacher ses douleurs ou si son petit-ami allait bien et que cet étourdissement n'était que passager. Il le garda donc contre lui et glissa ses mains sur ses cuisses -tout en répondant à son baiser- pour le soulever et faire en sorte que ses pieds ne touche plus le sol. Gabin le porta jusqu'à la chambre et l'allongea sur le lit :
« Et la chambre. »
Il se mit sur lui et l'embrassa tendrement avant de se mettre sur les coudes et le regarder tendrement :
« Ca ne va pas ? Tu es fatigué ? Tu veux qu'on aille voir le docteur ? » |
| | |
I'm Duncan Burnett
→ MESSAGES : 83 → CÉLÉBRITÉ : Mathias Luaridsen → DOUBLE COMPTE : un jour peut-être... → CRÉDITS : Pour l'avatar c'est moi (Creamy Cheese) ^^ Le reste on verra !! → QUARTIER : Paradise Island → AGE : 26 ans → STATUT CIVIL : en couple avec un animateur radio qui voudrait me protéger d'un monde où le danger est permanent → EMPLOI/ÉTUDES : journaliste
More about me→ RELATIONSHIP: → HUMEUR: AMOUREUX ♥→ PLAYLIST: Christina Aguilera - Your body
| Sujet: Re: New home, new life. || Dunchéri Lun 24 Sep 2012 - 12:20 | |
| « Je m’installerai à côté de toi plus tard, tu sais bien que je n’aime pas trop travailler à la maison, je préfère m’y reposer. » lui dit simplement Gabin.
Duncan sourit et hocha la tête. Son petit ami le décolla du sol aussi facilement que s’il s’était agi d’un paquet de plumes. Il fallait dire que, avec ce qu’il avait vécu les derniers mois à Londres, Duncan avait perdu pas mal de poids. Il faisait moins de soixante-cinq kilos désormais. Peut-être que sa faiblesse venait de là. Il devait peut-être reprendre une alimentation plus normale. Le stress et l’angoisse l’empêchaient de manger, contractant son estomac et lui coupant l’appétit. Gabin le posa sur le lit en annonçant qu’ils étaient dans la chambre désormais. Il vint s’installer au-dessus de lui et Duncan caressa sa joue en le regardant, le sourire aux lèvres.
Il avait vraiment de la chance de l’avoir. Gabin était de ces hommes, trop rares, qui donnaient sans compter aux êtres qu’ils aimaient. Il était attentionné, aimant, drôle et un amant parfait. Mais il ne parlait pas beaucoup de lui et Duncan s’inquiétait souvent de savoir ce que son petit ami ressentait, ce qu’il lui cachait. Le début de leur histoire avait été chaotique à cause de ça. Mais à présent, l’animateur radio commençait à s’ouvrir un peu plus. Toujours en fonction de Dunc’, mais il disait un peu plus ce qu’il ressentait.
Duncan avait appris à connaître les envies et les rêves de Gabin. Il le connaissait assez bien pour savoir comment le faire réagir quand il le fallait et comment le calmer au besoin. Il avait léché des larmes sur ses joues, pansé des blessures, écouté des souvenirs difficiles, tout ça sans jamais le juger. Aujourd’hui ils étaient un couple, un vrai, une équipe soudée. Il était fier d’avoir pu conquérir son cœur et il se battrait, jusqu’à sa mort s’il le fallait, pour conserver cette place de choix auprès de Gabin. Il accepta le baiser de son petit ami et, lorsque leurs lèvres se séparèrent, il continua à lui caresser la joue d’une main.
« Ça ne va pas ? Tu es fatigué ? Tu veux qu’on aille voir le docteur ? » lui demanda Gabin, inquiet.
Alors il avait vu. Il sourit et secoua la tête négativement. Il avait juste besoin de se reposer. Il balaya la question d’un baiser, venant chercher la langue de son petit ami. Il n’y avait pas lieu de s’inquiéter pour l’instant. Ils étaient là, tous les trois, dans un nouveau pays, pour une nouvelle vie. Rien ne devait gâcher ce moment exquis. Il parcourut des yeux le visage de Gabin et lui offrit un autre baiser. Là, couché sous lui, à le regarder. C’était comme ça qu’il voulait passer sa vie désormais.
« Je suis juste un peu fatigué. » dit-il tendrement. « Tu sais, le décalage horaire, tout ça ! »
Il entoura la taille de son petit ami avec ses jambes et le pressa contre lui.
« On ira nulle part ! » dit-il en riant. « Je suis bien qu’ici, avec toi et Orson… les deux hommes de ma vie ! »
Il saisit le visage de Gabin entre ses mains et l’embrassa à nouveau, un peu plus fougueusement cette fois. Mais, alors qu’il entreprenait de déshabiller son petit ami, il vit Orson lever la patte contre un mur du couloir. Il repoussa Gabin et bondit au bas du lit.
« NON ! » ordonna-t-il.
Trop tard. Une belle tache jaunâtre et odorante auréolait le mur. Il voulut saisir le chien par la peau de sa nuque, pour le punir en le repoussant violemment, comme d’habitude, mais ses forces le quittèrent et il ne parvint même pas à soulever les pattes avant du chien. Laissant à Gabin le loisir de houspiller le bosseron, il alla chercher de quoi nettoyer en riant.
|
| | |
I'm Gabin T. McGowan
→ MESSAGES : 55 → CÉLÉBRITÉ : Tom Hiddleston → DOUBLE COMPTE : Ava M. Hallaway → CRÉDITS : TayLor → QUARTIER : Paradise Island → AGE : 31 ans → STATUT CIVIL : En couple avec un journaliste qui pointe du doigt les méchants ! → EMPLOI/ÉTUDES : Animateur radio officiellement, chef d'un gang officieusement.
| Sujet: Re: New home, new life. || Dunchéri Lun 24 Sep 2012 - 13:56 | |
| Gabin avait toujours été un homme athlétique, encore plus depuis qu'il était dans le gang. Il devait avoir une forme olympique pour pouvoir montrer l'exemple. Il n'était pas ce mafieux gros qui mange des pâtes avec un cigare dans la bouche. Non il était de taille moyenne, ses grandes jambes lui permettaient de courir vite, svelte, sec, ses muscles bien dessiné. Le soulever n'était donc pas quelque chose de difficile pour lui avec des soixante-cinq kilos tout mouillé. De plus, Gabin voulait que Duncan se repose après ce léger problème. Ce n'était peut-être rien mais peut-être que c'était quelque chose de plus grave, mieux valait être prudent et limiter les efforts physiques ne serait pas une mauvaise chose. Délicatement il le posa sur leur lit et commença à l'embrasser. Il en avait besoin, il avait besoin de sentir Duncan, Gabin avait besoin de l'embrasser, de le caresser. Il ferma doucement les yeux en sentant la main de son petit-ami sur son visage, après des heures de vol et la route : Gabin ne pensait et ne voulait que profiter de lui. Duncan était une de seules personnes avec qui le chef du gang parlait, se confiait, faisait tomber cette lourde et épaisse carapace qu'il avait. C'était agréable et en même temps cela le terrifiait, il avait peur qu'on puisse lire en lui comme dans un livre alors il la remettait rapidement et se confiait rarement. Cela ne l'empêchait pas de l'aimer passionnément même s'il ne le disait pas. Une chose de plus sur lequel il était mystérieux. Il le montrait par des gestes, des petits mots mais dire les trois mots d'affilés c'était quelque chose de dur voir impossible. Peut-être parce qu'on ne lui avait jamais dit étant petit.
Duncan l'embrassa langoureusement après qu'il est demandé comme il allait. Gabin ne pouvait qu'y répondre même s'il avait envie de savoir. Il ne voulait pas lui faire de mal, jamais. Il estimait l'avoir déjà fait assez souffrir. Maintenant pour le protéger il achèterait une armée de chien, des gens pour garder sa maison et faire en sorte que Duncan soit toujours en sécurité.
« Tu es sûr hein ? Tu me le dis sinon... S'il te plaît... »
Gabin qui demande gentiment quelque chose : étonnant mais pas tellement vu qu'avec Duncan il était aussi doux qu'un agneau bien qu'il n'hésiterait pas à montrer ce qu'il était au fond de lui si jamais il devait défendre son petit-ami. Gabin colla son intimité à celle de Duncan lorsque ce dernier l'attira vers lui, une sensation de chaleur monta en lui tandis qu'un frisson parcourait son échine. Un sourire lorsqu'il parla des deux hommes de sa vie et répondit à son baiser tout aussi fougueusement, il leva les bras pour qu'il lui enlève son t-shirt avant d'enlever celui de Duncan lorsqu'il le repoussa. Gabin se leva d'un bond : poings serrés, prêt à se défendre mais en voyant que c'était Orson qui avait fait pipi sur le mur il se calma et baissa les bras. En voyant Duncan incapable de soulever la petite bête, Gabin comprit que quelque chose n'allait pas mais pour l'instant il devait gronder le chien avant de gronder le maître. Cela faisait rire son petit-ami, le visage de Gabin était fermé. Il attrapa le chien par la peau du cou -pour ne pas lui faire mal- avant de le mettre dehors dans leur jardin. Il en profita pour prendre les messages sur son portable, y répondre, donner des ordres avant de demander en bas :
« Tu as besoin d'aide Dunchéri ? »
Gabin alla ouvrir le frigo pour y sortir la bouteille de champagne : ses hommes de mains -qui l'avaient suivis en Australie- avaient fait du bon travail. Naturellement il avait tout supervisé de A à Z depuis Londres. Il prit deux coupes et monta avec la bouteille :
« Une coupe de champagne ? » |
| | |
I'm Duncan Burnett
→ MESSAGES : 83 → CÉLÉBRITÉ : Mathias Luaridsen → DOUBLE COMPTE : un jour peut-être... → CRÉDITS : Pour l'avatar c'est moi (Creamy Cheese) ^^ Le reste on verra !! → QUARTIER : Paradise Island → AGE : 26 ans → STATUT CIVIL : en couple avec un animateur radio qui voudrait me protéger d'un monde où le danger est permanent → EMPLOI/ÉTUDES : journaliste
More about me→ RELATIONSHIP: → HUMEUR: AMOUREUX ♥→ PLAYLIST: Christina Aguilera - Your body
| Sujet: Re: New home, new life. || Dunchéri Lun 24 Sep 2012 - 14:23 | |
| Duncan profita de l’absence de Gabin pour nettoyer le mur du mieux qu’il put. Il faudrait remettre un coup de peinture, très certainement. L’odeur lui souleva le cœur et il crut qu’il allait rendre le repas qu’il avait pris dans l’avion. Il épongea, passa un coup de serpillère sur le sol. Il se releva en se passant une main sur le front. C’était amusant, il avait froid mais il transpirait. Il était trempé. Il s’arrêta pour reprendre son souffle et appuya son dos contre le mur. Il se racla la gorge et s’obligea à répondre d’une voix forte.
« Non, merci ! Je gère mon amour ! » lança-t-il maladroitement.
Il reprit sa tâche, épongeant tranquillement le sol. Cette fatigue commençait à l’inquiéter un peu. Il n’avait jamais entendu parler de sueurs froides causées par la fatigue ou le décalage horaire. Mais ce n’était pas la peine de s’inquiéter déjà. Il ne voulait pas alarmer Gabin. Il rinça la serpillère et se laissa glisser sur le sol, épuisé. Il se passa un bras sur le front. Ses cheveux y étaient collés par la sueur. Il poussa un profond soupir. La queue entre les pattes, Orson vint lui lécher la joue. Duncan le caressa distraitement en souriant.
« Toi aussi tu es perturbé par le changement, hein mon grand ? » lui demanda-t-il, avant de répondre à Gabin. « Oui, je veux bien ! Pour fêter notre arrivée ici ! »
Il prit appui sur le chien pour se relever, le souffle court. Il essaya de se calmer avant que Gabin revienne avec les coupes. D’un coup, il avait très chaud. Il s’efforça de maîtriser ces sensations. Orson repartit se coucher dans son panier et tourna vers lui un regard triste. Duncan le regarda un instant dans les yeux.
« Quoi ? » lui demanda-t-il sur un ton de défi. « J’vais sûrement pas le faire flipper alors que c’est peut-être rien ! Si ? Me regarde pas comme ça, tu sais même pas ce que c’est être amoureux toi ! »
Il tira la langue au chien. Il rangea le seau et alla se laver les mains. Il se passa de l’eau fraîche sur le visage et soupira une nouvelle fois en se regardant dans le miroir. On voyait presque ses côtes. Il était maigre. Plus maigre que d’habitude. Mais ça ce n’était rien, c’était l’angoisse. Il s’essuya les mains. Les bouffées de chaleur de chaleur étaient terminées. Il ne transpirait plus. Il s’essuya alors le visage. La fatigue pouvait jouer des sales tours quand elle s’y mettait. Peut-être qu’il n’avait simplement pas supporté le voyage en avion. Il sortit de la salle de bain pile au moment où Gabin commençait à remonter. Il afficha un sourire ravi sur ses lèvres. Pas la peine de l’inquiéter. Un petit malaise, ça arrive à tout le monde, surtout après douze heures de vol.
|
| | |
I'm Gabin T. McGowan
→ MESSAGES : 55 → CÉLÉBRITÉ : Tom Hiddleston → DOUBLE COMPTE : Ava M. Hallaway → CRÉDITS : TayLor → QUARTIER : Paradise Island → AGE : 31 ans → STATUT CIVIL : En couple avec un journaliste qui pointe du doigt les méchants ! → EMPLOI/ÉTUDES : Animateur radio officiellement, chef d'un gang officieusement.
| Sujet: Re: New home, new life. || Dunchéri Lun 24 Sep 2012 - 15:53 | |
| Gabin n'aimait pas téléphoner à son bras droit ou à ses hommes quand Duncan était là, parler en code était certes obligatoire mais il n'aimait pas cacher des choses à son petit-ami même si c'était pour son bien. Paradoxale me direz-vous ? Mais Gabin est le symbole même du paradoxale. Une fois les instructions donnés, il demanda à son amoureux s'il avait besoin d'aide. Comme l'animateur radio connaissait bien son journaliste, il comprit que quelque chose n'allait pas mais se garda bien de dire quoique ce soit préférant attendre d'être en face de lui. Gbain prit le temps de sortir la bouteille de Champagne et deux coupes. Lorsqu'il remarqua que la porte fenêtre était ouvert, il appela le chien immédiatement mais ce dernier devait faire la sourde oreille à son maître puisqu'il ne venait pas. C'est donc en soupirant qu'il monta les marches en tentant de garder son calmer et d'avoir un beau sourire une fois arrivé en haut. Il restait une tâche, en entendant l'eau dans la salle de bain, Gabin comprit que Duncan se lavait. Il décida de déposer les coupes et la bouteille dans la chambre avant d'aller dans le bureau :
« Orson ! DE-HORS ! »
Il claqua des doigts et montrant l'escalier, le chien se mit à pleurer en le regardant mais Gabin restait intransigeant : s'ils commençaient à se laisser faire Orson serait mal élevé et ce n'est pas ce que l'animateur voulait. Ainsi donc il suivit le malheur qui se dépêcha de s'exécuter et cette fois-ci Gabin prit soin de bien fermer la porte. Orson n'était pas malheureux avec tout le terrain qu'il avait pour lui, puis il ne faisait pas trop chaud alors il pouvait bien prendre l'air. Ils étaient enfin seul avec Duncan. Le chef de gang remonta tout de suite les marches quatre à quatre et trouva son petit-ami trempé. Un regard inquiet, quelques pas, il posa ses mains sur son visage pour amener son front à ses lèvres :
« Tu as un peu de fièvre je pense... ! »
Gabin réalisa alors que son petit-ami était maigre, ils se voyaient nus souvent mais là ça inquiétait l'anglais qui commença à caresser doucement ses côtes tout en se collant à lui :
« Faut vraiment que je te fasse des plats plus calorique. »
Il soupira et s'en voulait de ne pas être là souvent. Peut-être était-ce pour cela qu'il était malade ? Si c'était de sa faute, Gabin ne se le pardonnerait pas. Alors pour lui-même, il se promit d'être plus présent. Délicatement, il baissa sa tête pour embrasser Duncan :
« Va te reposer un peu, le voyage à dût te fatigué. Je vais faire couler un bain. »
Comme pour appuyer ses mots et ne surtout pas laisser le choix à son petit-ami, il attrapa Duncan, le souleva et descendit les marches pour le porter jusqu'à la salle de bain. Là il l'installa sur les meubles qui étaient encore vide et s'éloigna quelques instants pour allumer l'eau chaude. Lorsqu'il retourna auprès de son petit-ami, il tira le bassin de ce dernier pour qu'il soit au bord et se colla à Duncan.
« Je vais essayer d'être plus là, je te le promet... »
Chuchota-t-il avant d'embrasser fougueusement SON Duncan. |
| | |
I'm Duncan Burnett
→ MESSAGES : 83 → CÉLÉBRITÉ : Mathias Luaridsen → DOUBLE COMPTE : un jour peut-être... → CRÉDITS : Pour l'avatar c'est moi (Creamy Cheese) ^^ Le reste on verra !! → QUARTIER : Paradise Island → AGE : 26 ans → STATUT CIVIL : en couple avec un animateur radio qui voudrait me protéger d'un monde où le danger est permanent → EMPLOI/ÉTUDES : journaliste
More about me→ RELATIONSHIP: → HUMEUR: AMOUREUX ♥→ PLAYLIST: Christina Aguilera - Your body
| Sujet: Re: New home, new life. || Dunchéri Lun 24 Sep 2012 - 17:21 | |
| Lorsque Gabin remonta, il posa ses lèvres sur son front. Duncan ferma les yeux et se laissa faire. Ce simple contact l’émoustillait plus que de raison. S’il avait un peu de fièvre, alors c’était peut-être une bonne grippe. Quelques jours de repos, des grogs et des grosses chaussettes et ça passerait. Mais, quand son petit ami fit allusion à sa maigreur, Duncan se sentit vexé. S’il l’avait remarqué, c’était que ça ne lui plaisait pas. Bon, ça ne plaisait pas non plus au journaliste, pour être honnête. Mais pour une raison qu’il ne s’expliquait pas vraiment, il fut vexé. Blessé est le terme exact en fait. Il ne voulait pas que Gabin lui trouve la moindre imperfection. Il voulait être celui que l’animateur aimait, juste ça.
« C’est rien Gabin, c’est que la fatigue… » dit-il lorsque son petit ami l’amena jusqu’à la salle de bain.
Il rit de la situation. C’était mignon quand même. Gabin s’inquiétait vraiment, et ça, c’était flatteur. Il aimait bien être le centre de l’attention de son amant. Assis sur un meuble vide, il le regarda s’affairer et se mordit la lèvre inférieure, un sourire coquin dessiné sur les lèvres. Gabin revint vers lui et le tira au bord du meuble pour se coller à lui. Duncan le regarda, coquin, et lui sourit, passant ses bras autour de son cou.
« Quand je serai vieux, moche et sans dents, tu t’occuperas toujours de moi comme ça ou bien tu me remplaceras par un plus jeune ? » demanda-t-il en riant.
Il aimait bien le taquiner, ça faisait partie de leurs jeux. L’eau commençait à monter dans la baignoire. Dunc’ passa un petit coup de langue dans le coup de son petit ami et se pencha pour mettre sa main dans l’eau.
« Evite d’en mettre trop vu qu’on va être deux… » souffla-t-il à son oreille.
Il se lova contre son petit ami et, sentant que ses forces étaient revenues, d’un geste circulaire et rapide des bras, il fit basculer Gabin dans l’eau, habillé. Duncan explosa de son rire tonitruant alors que l’eau éclaboussait partout. Le fou rire ainsi déclenché lui fit du bien. Un bien incroyable. Comme s’il retrouvait son énergie, comme s’il avait dormait cinq heures. Il riait, riait, sans pouvoir s’arrêter. Toujours pris dans sa crise de fou rire, il sortit son smartphone de sa poche et se laissa glisser dans la baignoire, le long du corps de son amant. Leurs deux visages tout proches, Duncan continuait à rire de bon cœur. Il passa une main dans les cheveux de Gabin et posa l’autre sur sa joue avant de l’embrasser passionnément.
Quand leurs lèvres se séparèrent, Duncan regarda Gabin un moment. Ses lèvres tremblaient et il se retenait de rire. Mais il ne tint pas longtemps et explosa à nouveau. Son rire emplissait toute la pièce. Duncan était ce genre de personne au rire tonitruant, très expressif et souvent contagieux. Et ça lui faisait du bien. Beaucoup de bien. Ils étaient heureux, ils étaient jeunes, ils avaient la vie devant eux. C’était ça, le plus beau des cadeaux ! La vie ! Et Duncan comptait bien en profiter, de cette vie. Il pouvait rire, pleurer, souffrir, aimer, haïr… peu lui importait tant que Gabin était à ses côtés.
|
| | |
I'm Gabin T. McGowan
→ MESSAGES : 55 → CÉLÉBRITÉ : Tom Hiddleston → DOUBLE COMPTE : Ava M. Hallaway → CRÉDITS : TayLor → QUARTIER : Paradise Island → AGE : 31 ans → STATUT CIVIL : En couple avec un journaliste qui pointe du doigt les méchants ! → EMPLOI/ÉTUDES : Animateur radio officiellement, chef d'un gang officieusement.
| Sujet: Re: New home, new life. || Dunchéri Lun 24 Sep 2012 - 18:25 | |
| Gabin aurait bien aimer reprendre là où ils s'étaient arrêtés, mais si Duncan était fiévreux : il ne ferait rien pour le tenter.,, Même si il avait un besoin viscérale, besoin de sentir que Duncan était à lui. Pour se rassurer, pour comprendre que son petit-ami ne voulait et n'allait pas l'abandonner. Il était devenu tellement essentiels pour l'animateur radio que la vie sans lui ne serait ps une vie. Il survivrait mais il ne pourrait plus vivre. Son rire, son corps, sa peau, la chaleur de son corps : un tout dont Gabin avait besoin pour se sentir bien. Pour tenir dans sa mission d'infiltration, pour avoir la force de continuer et de ne pas abandonner. Arriver au bout et avoir la vengeance dont son père mérite. Duncan était parfait à ses yeux, bien que trop maigre au goût de Gabin, il était tout de même son homme et le physique ne comptait que très peu au fond. Le plus important c'est qu'ils se comprenaient. Pour rien au monde le chef de gang ne changerait l'amour de sa vie, il l'aimait comme il était : avec ses qualités et ses défauts. Jamais il ne lui demanderait de changer. Gabi avait du mal à croire que c'était la fatigue, pour avoir prit l'avion maintes et maintes fois, pour avoir subit le décalage horaire : il ne se souvenait pas d'être aussi mal. Fatigué oui mais de là à avoir un peu de fièvre : jamais. Si les symptômes persistaient alors il l’emmènerait de gré ou de force chez le médecin. Il n'allait pas laisser son petit ami être malade et refuser son aide. Au contraire il ferait mieux de profiter que Gabin soin au petit soin. Sans attendre une réponse de sa part, McGowan porta Duncan jusque dans la salle de bain pour lui faire couler un bon bain. En revenant vers lui, il avait déjà milles et une idée : encore plus lorsque son petit-ami lui lécha le cou.
« Bien sûr que je m'occuperai de toi mais je crois que je le serai avant tout. »
Gabin accompagnait son rire avec plaisir, cela faisait du bien de rire un peu. Après tout le rire était bon pour la santé : ça faisait perdre du poids bien que les deux jeunes hommes n'en ai pas besoin. En entendant la réflexion de Duncan, il allait se tourner pour éteindre l'eau mais en moins de temps qu'il ne faut pour dire ouff il était tombé dans l'eau. Surpris au début, il se raccrocha rapidement au bord avant de frotter le derrière de sa tête en grimaçant. Rapidement, son homme le rejoignit en continuant de rire :
« Ca te fais rire en plus sale gosse ? »
Gabin répondit à son baiser en serrant la peau de Duncan de plaisir, déjà qu'il avait envie de lui mais alors lui faire ça ne l'aidait pas à se retenir de vouloir faire des choses pas très catholique avec son petit-ami. Alors que Gabin s’affairait à déboutonner les boutons du pantalon de Duncan, il l'entendit rire ce qui ne l'arrêta pas pour autant. Bien au contraire, il accompagna une fois de plus son petit-ami dans ce fou rire. Gabin échangea les position pour enlever difficilement le pantalon de Duncan en continuant de rire. Pourtant en voyant son compagnon en caleçon, il arrêta progressivement de rire et glissa sa main sous son boxer tout en collant son corps au sien.
« Hum... Et maintenant... Tu as toujours envie de rire... ? »
Gabin va déposer des baisers dans son cou en le mordillant par-ci, par-là.
|
| | |
I'm Duncan Burnett
→ MESSAGES : 83 → CÉLÉBRITÉ : Mathias Luaridsen → DOUBLE COMPTE : un jour peut-être... → CRÉDITS : Pour l'avatar c'est moi (Creamy Cheese) ^^ Le reste on verra !! → QUARTIER : Paradise Island → AGE : 26 ans → STATUT CIVIL : en couple avec un animateur radio qui voudrait me protéger d'un monde où le danger est permanent → EMPLOI/ÉTUDES : journaliste
More about me→ RELATIONSHIP: → HUMEUR: AMOUREUX ♥→ PLAYLIST: Christina Aguilera - Your body
| Sujet: Re: New home, new life. || Dunchéri Lun 24 Sep 2012 - 23:53 | |
| Dans l’eau chaude de leur bain, Duncan laissa son petit ami s’affairer à le déshabiller, tout à son fou rire. Difficile d’enlever un slim quand il était mouillé. Une fois en boxer, Duncan cessa doucement de rire et se perdit dans les yeux de son petit ami. Il suivit les caresses, le dévorant du regard. Il avait faim, lui aussi. Il se mordit la lèvre inférieure, les yeux rivés dans ceux de l’homme qu’il aimait. Il avait envie de lui depuis un bon moment. Il passa ses bras autour de Gabin et passa délicatement son doigt le long de la colonne vertébrale de l’animateur radio. Mais, pris d’une soudaine angoisse, il posa son autre main sur le poignet de Gabin pour arrêter ses gestes. Il tenta de se redresser un peu. Une ombre de tristesse passa dans son regard et il se plongea plus que jamais dans les yeux de son homme.
« Gabin… si… » commença-t-il.
Il s’arrêta et se mordit une nouvelle fois la lèvre inférieure. Il ne savait pas comment aborder la question. Ils n’avaient jamais parlé de ce genre de choses et il n’était pas sûr d’en avoir envie. Il en avait besoin, mais pas envie. Il poussa un soupir mais n’interrompit pas le mouvement de son doigt le long de la colonne vertébrale de son amant. Il l’appelait rarement par son prénom, ce qui le perturbait un peu plus. Il eut envie de s’arrêter, d’effacer ses idées et de reprendre leurs ébats. Mais il devait savoir. Il le devait à Gabin, il se le devait à lui-même. Quelque chose en lui le poussait à poser la question. La fatigue qu’il ressentait n’avait rien de naturel, il en était plus que conscient. Il ne voulait pas l’embêter avec ça. Il irait chez le médecin tout seul. Il était certain que ce n’était rien mais il devait savoir.
« Si… » reprit-il avant de s’interrompre à nouveau.
Il soupira encore puis prit une profonde inspiration. Il ne savait pas pourquoi, mais il voulait trouver la force de demander ça. C’était important. Trop important pour ne pas en parler. D’un coup, il avait perdu toute envie de rire. L’angoisse avait remplacé la bonne humeur et les yeux inquiets de Gabin ne l’aidaient pas à se calmer.
« S’il devait m’arriver quelque chose… » trouva-t-il enfin le courage de dire. « Tu continuerais à vivre ? J’veux dire… Tu en trouverais la force ? »
C’était peut-être égoïste comme question, stupide au mieux, mais il éprouvait le besoin étrange de savoir. Il serra Gabin contre lui, enfouit sa tête contre le torse de son amant et pleura. Il pleura doucement, silencieusement, mais il pleura. Cela faisait plusieurs jours qu’il était dans cet état et ça l’inquiétait. Il ne voulait pas le dire à son petit ami, il ne voulait pas lui rajouter un poids supplémentaire sur le dos. Il l’avait déjà obligé à quitter son pays natal, à laisser ses amis, à partir comme ça. Tout était de sa faute et il ne voulait pas en rajouter.
Il espérait bien que Gabin referait sa vie et n’aurait pas peur de continuer à avancer sans lui mais, égoïstement, il voulait que son petit ami ne vive que pour lui. C’était contradictoire. Il se serra un peu plus contre l’homme qui partageait sa vie. Ses angoisses irrationnelles lui faisaient peur parfois. Il avait si peu confiance en lui qu’il avait sans cesse besoin d’être rassuré sur l’amour que lui portait Gabin. Il fallait dire que l’animateur radio parlait si peu. C’était dans sa nature et Dunc’ ne lui en voulait pas mais, parfois, il avait besoin d’être rassuré. Il avait parfois besoin que Gabin le lui dise. Comme ce soir.
Il écarta son visage du torse de Gabin et, le visage plein de larmes, il le regarda une nouvelle fois dans les yeux. Le regard de Dunc’ en disait long sur ses peurs. La peur de perdre l’être aimé, la peur de ne pas être assez bien pour lui, la peur de ne pas pouvoir lui apporter ce que d’autres lui apporteraient. La peur de voir l’amour dans ses yeux se faner. Et en même temps, il avait peur de cette soudaine baisse d’humeur, parce que ça ne lui ressemblait pas, lui qui était d’ordinaire si fort et si joyeux… en toutes circonstances...
|
| | |
I'm Gabin T. McGowan
→ MESSAGES : 55 → CÉLÉBRITÉ : Tom Hiddleston → DOUBLE COMPTE : Ava M. Hallaway → CRÉDITS : TayLor → QUARTIER : Paradise Island → AGE : 31 ans → STATUT CIVIL : En couple avec un journaliste qui pointe du doigt les méchants ! → EMPLOI/ÉTUDES : Animateur radio officiellement, chef d'un gang officieusement.
| Sujet: Re: New home, new life. || Dunchéri Mer 26 Sep 2012 - 12:43 | |
| Gabin riait de bon cœur en voyant que le slim lui résistait : au pire il le déchirerait ! Rien ne lui résistait surtout quand il commençait à être de plus en plus excitée par le corps de Duncan. Petit à petit, les rires s'arrêtèrent. La respiration de l'animateur radio commença à s'accélérer tandis que sa main descendait vers le boxer pour faire ce qu'elle savait faire de mieux probablement. Sous les mains de Duncan, son corps réagissait en frissonnant et augmentait la température du corps du chef de gang. L'envie était grand, très grand : pourtant, en sentant la main de son petit-ami sur son poignet, Gabin s'arrêta immédiatement ne voulant pas forcer Duncan à quoique ce soit. Inquiet, aux dernières nouvelles jamais son petit-ami n'avait arrêté des préliminaires : WHAT THE FUCK ?! Le regard plein de tristesse de son petit-ami lui donna une grande claque. Le « si » n'arrangea pas les choses ! Il se redressa en même temps que Duncan mais ne quitta pas son regard. C'est à peine si il sentait les caresses sur sa colonne vertébrale du journaliste. Il était bien trop occupé à se psoer des questions, à se faire peur : Duncan voulait peut-être l'abandonner ? Genre l'Australie serait un nouveau départ mais seulement pour lui ? Peut-être qu'il l'avait trompé lors d'un de ses déplacements ? Ou bien il voulait repartir en Angleterre même si des gens hauts placés l'attendait ? Des questions fusaient dans sa tête, le deuxième si remit une couche. C'est là que l'épée de Damoclès tomba, assommant Gabin qui ouvrit grands ses yeux. Mais c'était quoi cette question ?!
« Pardon ? »
Il s'écarta, comme toujours quand quelque chose ne lui plaisait pas. Les sourcils froncés, le cœur battant :
« Tu m'expliques pourquoi tu me poses cette question ? Entre celle-la et l'autre sur le faite que je prendrai soin de toi même si tu étais vieux et impotent : je ne sais pas quoi penser ! Tu essayes de me dire quoi ? »
Gabin pouvait paraître froid mais c'est juste parce qu'il avait peur. Peur de perdre l'homme de sa vie, peur que Duncan meurt avant lui ou bien loin de lui. Non, non il ne pouvait pas vivre sans le journaliste. Il devait lui dire, vider son sac et avouer qu'il l'aimait plus que sa propre vie. Mais voilà : il était incapable de faire ça. Peur qu'on rigole de lui, qu'on le traîne dans la boue bien que le problème soit plus profond que ça. S'ouvrir pour rien et être abandonner ensuite était la pire chose qui pouvait lui arriver. Là maintenant tout de suite, Gabin avait peur que Duncan parte. Ce dernier chercha son contact, abasourdi, comme dans un état second, l'animateur ouvrit ses bras et le laissa se coller à son torse nu. Sa main glissa dans ses cheveux lorsqu'il sentit son petit-ami pleurer. Non mais qu'est-ce qui ce passait ?! Il paniquait, il ne le montrait pas mais tout son être criait de rage, de colère de ne pas savoir pourquoi Duncan posait toutes ces questions. L'homme de sa vie s'éloigna de lui, Gabin attrapa son visage pour sécher ses larmes et en soupirant décida de s'ouvrir un peu voyant la détresse de Duncan dans ses yeux :
« Je ne pourrai pas vivre sans toi. Tu le sais très bien. Je ne veux pas que tu partes, que tu me quittes, je ne supporte pas l'idée de te savoir avec un autre homme. Je te veux pour moi, c'est égoïste mais je veux que tu sois rien qu'à moi. Qu'on veillisse ensemble et qu'on réalise les projets qu'on à : aller en Grèce, adopter un enfant, vivre la vie qu'on à toujours voulut avoir... »
Gabin embrassa délicatement son petit-ami avant de lécher ses joues salés :
« Tu es malade ? Qu'est-ce qui ce passe … Me dis pas que tu vas... Mour... Mou... »
Gabin n'arrivait pas à dire le mot, portant il le disait quotidiennement dans son gang. Ce n'était pas un mot inconnu bien au contraire.
« Ne me dis pas que tu vas mourir... ? Que tu ne m'as rien dit... ? » |
| | |
I'm Duncan Burnett
→ MESSAGES : 83 → CÉLÉBRITÉ : Mathias Luaridsen → DOUBLE COMPTE : un jour peut-être... → CRÉDITS : Pour l'avatar c'est moi (Creamy Cheese) ^^ Le reste on verra !! → QUARTIER : Paradise Island → AGE : 26 ans → STATUT CIVIL : en couple avec un animateur radio qui voudrait me protéger d'un monde où le danger est permanent → EMPLOI/ÉTUDES : journaliste
More about me→ RELATIONSHIP: → HUMEUR: AMOUREUX ♥→ PLAYLIST: Christina Aguilera - Your body
| Sujet: Re: New home, new life. || Dunchéri Mer 26 Sep 2012 - 13:51 | |
| Duncan pleurait à chaudes larmes. Et plus Gabin lui parlait, plus il pleurait. Cet état était vraiment étrange, ses propres baisses d’humeur lui faisaient peur. Il pouvait passer du rire aux larmes en quelques secondes. Sa fatigue était tout sauf naturelle. Les migraines et les nausées, c’était pareil. Ca l’inquiétait réellement. Mais comment ne pas angoisser Gabin avec ça ? La main de Gabin dans ses cheveux lui réchauffa un peu le cœur et les mots qui suivirent achevèrent de ranimer sa flamme. Il serra son petit ami contre lui et retrouva le sourire.
« Non mon amour, j’vais pas mourir ! » répondit-il en riant. « Mais je t’avoue que ma fatigue m’inquiète un peu… »
Il se blottit tout contre l’homme de sa vie et entreprit de lui enlever son pantalon. Il lui dévora les lèvres de baisers passionnés. Un nouvel élan le poussait dans les bras du chef de gang. Il avait envie de lui, besoin de lui. Il était toujours aussi angoissé mais il espérait sincèrement qu’un énorme câlin le calmerait. Il enroula ses jambes autour de la taille de Gabin pour le ramener contre lui. Il
« Je voulais pas te faire peu mon amour. » murmura-t-il à son oreille avant de lui sucer légèrement le lobe. « J’ai paniqué et j’ai… »
Il passa ses lèvres sur la joue de son petit ami, referma ses mains sur ses fesses et dévora ses lèvres dans un baiser enflammé. Il glissa ses doigts sous l’élastique du boxer de son amant et le fit glisser, révélant la nudité de l’homme qu’il aimait tant. Il l’embrassa dans le cou. Son souffle commença à s’accélérer et son corps frémissait.
« Excuse-moi… » souffla-t-il à l’oreille du chef de gang. « Comment pourrais-je me faire pardonner ? »
Mais alors qu’il faisait descendre sa langue le long du torse de Gabin histoire de rejoindre lentement sa virilité, on sonna à la porte. Comme s’il venait d’être pris en flagrant délit d’adultère, Duncan se redressa. Dehors, Orson aboyait. On sonna une deuxième fois avant de tambouriner à la porte. Le journaliste jura et s’éloigna de son petit ami pour sortir de la baignoire. Il se saisit d’un peignoir blanc pendu derrière la porte et l’enfila.
« J’y vais. » dit-il à Gabin avant de s’aventurer dans le couloir.
La personne derrière la porte tambourinait toujours avec force et conviction. Il aperçut, à travers la porte vitrée, une vieille dame plutôt laide et voutée. Il jeta un coup d’œil vers la salle de bain puis alla ouvrir.
« Oui ? » demanda-t-il en ouvrant. « C’est pourquoi ? »
La vieille bique lui claqua un pot de fleurs plutôt moche et mal entretenu sur le torse. Elle ne souriait pas et le regardait d’un air hautain. Duncan haussa les sourcils, regarda la plante, puis la vieille, puis à nouveau la plante. Il ne savait pas trop quoi dire.
« Jean McAllister ! » lança la vieille. « La voisine d’à côté. J’voulais vous souhaiter la bienvenue, voilà c’est fait ! Maintenant j’me casse ! J’espère que vous êtes pas un connard de jeune fêtard ou bien un homosexuel ou pire… un communiste ! »
Duncan écarquilla les yeux encore plus. Il bafouilla et se tourna vers Gabin qui arrivait derrière lui. Il lui tendit le pot de fleurs à moitié mortes comme s’il s’était agi d’un verre vide. La vieille posa ses mains sur ses hanches, l’air sévère.
« Bon ben j’vois qu’vous êtes des branle-culs ! » lança-t-elle en se retournant pour partir. « Tout le monde ne peut pas vivre dans la moralité parfaite je suppose… »
A mi-chemin, elle se tourna vers Gabin puis détailla Dunc’ du regard. Elle regarda Gabin.
« Vu qu’apparemment, c’est vous l’homme de la maison, je vous demanderai de bien vouloir tondre ma pelouse les mardis après-midis ! Je vous paierai bien entendu ! Mais j’ai qu’une petite retraite alors soyez pas aussi carnivores que vous savez l’être vous les tape-culs ! »
Sur ces mots et sans laisser l’occasion à Gabin de répondre, elle s’éloigna en boitillant. Duncan la regarda, les yeux toujours écarquillés. Il se retourna lentement et ferma la porte. Il prit le pot des mains de Gabin et le jeta directement à la poubelle.
|
| | |
I'm Gabin T. McGowan
→ MESSAGES : 55 → CÉLÉBRITÉ : Tom Hiddleston → DOUBLE COMPTE : Ava M. Hallaway → CRÉDITS : TayLor → QUARTIER : Paradise Island → AGE : 31 ans → STATUT CIVIL : En couple avec un journaliste qui pointe du doigt les méchants ! → EMPLOI/ÉTUDES : Animateur radio officiellement, chef d'un gang officieusement.
| Sujet: Re: New home, new life. || Dunchéri Mer 26 Sep 2012 - 22:45 | |
| Gabin le serrait tendrement contre lui, sa main continuait ses allées et retours tandis que le bas de son visage était dans ses cheveux. Il embrassait sa tête tout en tentant de se calmer, de ne pas paniquer et aggraver la situation. Ce n'est pas parce que Duncan avait retrouvé le sourire que Gabin se sentait rassuré ou autre : bien au contraire. Quelque chose se tramait et il comptait bien avoir quoi ! C'est qu'il était persévérant et impulsif alors pour savoir quelque chose il serait prêt à tout, mais vraiment tout de chez tout ! Rien ne lui faisait peur ! Ca le faisait rire en plus de dire qu'il n'allait pas mourir. Qu'est-ce que Duncan en savait ? Gabin s'en voulait d'un coup d'avoir pris science à la place de médecine : il aurait pût avoir la même vie et là aurait pût dire d'un claquement de doigt ce qui clochait. Enfin, heureusement ou malheureusement, Gabin est ce qu'on appelle communément un petit génie. Il ferait des recherches, poseraient des questions à des médecins même si pour cela il devait travailler toutes les nuits pour se faire de l'argent. Duncan aura les meilleurs médecins à son service et rien ne sera laisser au hasard car le hasard n'aimait pas Gabin et inversement ! McGowan le laissa faire, toujours dans ses pensées pourtant il revenir à la réalité en sentant les lèvres de Duncan sur son cou. Ses yeux en arrière, il ouvrit légèrement la bouche pour laisser échapper un soupir de complaisance. Il répondit fougueusement aux baisers de son petit-ami en plaçant ses mains derrière sa nuque pour le tenir contre lui. Lorsque Duncan suça le lobe de son oreille : Gabin se sentit transporter et rapidement prit également les commandes en glissant ses mains directement sous son boxer pour caresser son entrejambe avec tendresse. Son corps était comme transporter, il commençait déjà à se tendre de plaisir sous les mains expertes de Duncan qui savait que deux en trois mouvements suffisait à réveiller le désir de Gabin.
« Du... Non... Tu as besoi... de... de... »
Impossible de finir sa phrase, le désir avait prit le contrôle de son esprit. Sa respiration s'accéléra et il attrapa les rebords de la baignoire avant de laisser un gémissement de plaisir sortir de ses lèvres.
« En te reposant. »
Articula-t-il, très peu convaincu par ce qu'il venait de dire car tout son corps ne désirait que Duncan, il ne voulait rien d'autre, n'avait besoin de rien d'autre : si ce n'est faire qu'un avec son journaliste. Pourtant, cet instant fût gâcher par la sonnette. La prochaine fois il la débrancherait et mettrait des clous sur la porte pour qu'on ne puisse pas frapper. Alors qu'il voyait déjà Duncan se lever, Gabin tenta de le retenir d'un ton suppliant :
« Non, laisse... »
Il sortit un pied dehors et voulut attraper la main de Darren mais il glissa et tapa son menton sur le carrelage : une cicatrice de plus. Des larmes de douleurs montaient déjà à ses yeux tandis qu'il attrapa une serviette pour arrêter le sang. Le visage saignait beaucoup, malheureusement. Tant bien que mal, il enfila son boxer : nullement gêné de se montrer quasiment nu et tremper. La serviette toujours coller sous son menton. Gabin avait une soudaine envie de fracasser la tête à la vielle dame : pas de respect pour les personnes âgés surtout quand ces dernières étaient aussi aigrit. Il attrapa le pot de fleur et le serra très fort pour ne pas lui lancer à la figure. Un compliment d'être traité comme l'homme de la maison ? Pas si sûr. Genre elle balançait des piques et partait comme ça sans rien dire ? Ca n'allait certainement pas ce passer comme ça.
« J'y crois pas... »
Gabin alla enfiler son jeans mouillé -ce qui était une torture- avant d'aller récupéré le pot et sortir torse poil. Il siffla, Orson arriva : il n'avait pas dût faire sa crotte. Il l'emmena sur le terrain de la vielle, frappa à son tour frénétiquement. Elle ouvrit sa porte :
« Qu'est-ce que vous me voulez ?! -Vous ne m'avez même pas laisser le temps de vous remercier et de vous présentez notre chien. »
Tenta-t-il de dire gentiment, enfin plutôt du genre je me fous de ta gueule vielle bique !
« Voici Orson. »
Le chiot se mit sur ses deux pattes et aboya :
« Ce sac à puce est votre chien ? »
Immédiatement le jeune bosron comprit que la dame parlait de lui, alors il s'approcha d'elle, leva la patte pour pisser sur son paillasson et éclabousser ses chaussons bleus.
« Bonne journée madame MacAllister. »
Gabin repartit, content et félicita Orson. Il jeta le pot dans les poubelles devant chez lui pour que la vielle voit avant de rentrer et de rapidement se déshabiller, enleva le peignoir de son petit-ami avant de l'attraper pour le porter. Il le colla au mur et commençait déjà à baisser son boxer :
« On à besoin de personne. »
Chuchota-t-il avant de l'embrasser fougueusement tout en le caressant partout, partout... |
| | |
I'm Duncan Burnett
→ MESSAGES : 83 → CÉLÉBRITÉ : Mathias Luaridsen → DOUBLE COMPTE : un jour peut-être... → CRÉDITS : Pour l'avatar c'est moi (Creamy Cheese) ^^ Le reste on verra !! → QUARTIER : Paradise Island → AGE : 26 ans → STATUT CIVIL : en couple avec un animateur radio qui voudrait me protéger d'un monde où le danger est permanent → EMPLOI/ÉTUDES : journaliste
More about me→ RELATIONSHIP: → HUMEUR: AMOUREUX ♥→ PLAYLIST: Christina Aguilera - Your body
| Sujet: Re: New home, new life. || Dunchéri Mer 26 Sep 2012 - 23:37 | |
| « J’y crois pas ! » lança Gabin derrière lui lorsque la vieille fut partie.
Duncan se tourna vers son petit ami qui retournait enfiler son jeans et prenait Orson avec lui. Le journaliste haussa un sourcil mais il comprit parfaitement ce qui allait se passer. Gabin avait décidé, sur un coup de colère, d’aller remettre à sa place leur voisine âgée. Dunc’ ne le retint pas. Il le regarda sortir avec Orson, poussa un profond soupir en levant les yeux au ciel et, d’un simple mouvement du poignet, il ferma la porte. Il ne voulait pas assister au massacre. Il alla dans la salle de bain et se servit une deuxième coupe de Champagne en s’allumant une clope.
Assis sur le rebord de la baignoire, il sirota sa coupe en fumant, secouant la tête tout seul en imaginant Gabin en train de punir la vieille bique à sa façon. Il sourit. Lorsqu’il entendit le portable de Gabin, il se dirigea vers sa chambre et prit le téléphone. Le portable de son petit ami affichait le prénom d’un certain Chuck. Duncan fronça les sourcils et décrocha.
« Oui ? » dit-il froidement.
« McGowan ? » répondit la voix d’homme au bout du fil.
Duncan plissa les yeux et eut envie de balancer le téléphone à travers la pièce, mais il n’en fit rien. Il afficha un sourire poli et répondit aussi cordialement qu’il le pouvait.
« Il est sorti… » répondit-il, courtois.
« Merde ! » fit l’autre, apparemment embarrassé. « Dis-lui qu’on attend sa livraison à minuit pile à l’endroit prévu ! »
Son interlocuteur raccrocha abruptement. Dunc’ regarda un instant le téléphone puis le balança négligemment sur le lit. Ce Chuck, aussi aimable qu’une porte de prison, le prenait donc pour un répondeur téléphonique ? Sa coupe toujours à la main, il redescendit dans le hall. Quelques secondes plus tard, Gabin rentrait avec Orson. Son petit ami le plaqua contre le mur afin de reprendre leurs activités où ils les avaient laissées. Duncan suivit, acceptant les baisers enflammés et en donnant d’autres. D’un geste pressé, il aida Gabin à se débarrasser de ses quelques vêtements.
« On a besoin de personne… » lui dit Gabin.
Duncan passa sa main sur le corps de son petit ami, reprenant ses caresses expertes. Il fallait dire qu’avec le nombre d’hommes passés entre ses draps avant qu’il rencontre son amant actuel, il avait eu l’entraînement nécessaire. Il dévora littéralement le cou de son petit ami, continuant à lui prodiguer diverses caresses et autres baisers passionnés. Il explora en totalité le corps de Gabin avant de se laisser glisser le long du corps de son amant pour tomber à genoux. Mais avant de lui offrir tout son savoir-faire, il leva la tête pour le regarder.
« Qui est Chuck ? » demanda-t-il avant de commencer le travail.
|
| | |
I'm Gabin T. McGowan
→ MESSAGES : 55 → CÉLÉBRITÉ : Tom Hiddleston → DOUBLE COMPTE : Ava M. Hallaway → CRÉDITS : TayLor → QUARTIER : Paradise Island → AGE : 31 ans → STATUT CIVIL : En couple avec un journaliste qui pointe du doigt les méchants ! → EMPLOI/ÉTUDES : Animateur radio officiellement, chef d'un gang officieusement.
| Sujet: Re: New home, new life. || Dunchéri Jeu 27 Sep 2012 - 10:21 | |
| Gabin avait des principes, celui d'insulter ses voisins à peine arriver n'étiat pas du tout dans ses habitudes mais la faim justifiait les moyens comme on dit et le chef de gang n'allait certainement pas se laisser faire par une vielle peau qui devait autant aimer les appareils sexuels masculin que lui mais qui était trop vielle, frustrée de ne pas pouvoir en avoir. Deux ensembles cela devait être du gâchis pour elle. Gabin lui en voulait d'avoir gâcher ce moment d'intimité, non pas qu'il était en manque mais il préférait montrer par des gestes l'amour qu'il portait à Duncan que de le dire. A ses yeux c'était plus fort que quoique ce soit. Lorsqu'il rentra chez lui avec Orson tout content, il s'empressa d'attraper son petit-ami pour le plaquer contre le mur et dévorer son cou de baiser fougueux. Gabin ne voulait que Duncan, il ne voulait que lui et son petit-doigt lui disait que ce n'était pas prêt de changer ce même si ce dernier meurt. Il y avait tellement d'alchimie entre eux même si parfois tous les opposaient. Il n'en restait pas moins que Gabin aimait Duncan à un point inimaginable. Vous imaginez donc si un jour il venait à disparaître surtout d'une maladie ? Il est clair que l'animateur ne s'en remettrait pas : pouvait-on lui jeter la pierre ? Une fois l'histoire de la veille réglé, il allait réglé une autre affaire qui était en suspends et Gabin ne supportait pas l'idée de ne pas finir quelque chose. C'est pourquoi à peine rentrer, avec du sang sur son menton et sur son torse, il attrapa Duncan. Il allait lui faire l'amour que cela lui plaise ou non. Après tout son petit-ami avait tout fait pour le tenter alors il allait devoir assumer en quelque sorte... Gabin savourait chaque caresse du journaliste, les yeux fermés, priant tous les dieux pour que personne ne vienne les embêter. Non, rien ni personne ne pourra arrêter ce moment. Il allait montrer à son petit-ami combien il l'aimait. Il enleva à son tour son boxer pour se retrouver dans la même tenue et se plongea quelques instants dans les yeux de Duncan après que ce dernier ait dévoré son cou ne faisant qu'augmenter la température corporelle de Gabin. Lorsqu'il vit que son amant se mettait à genoux, son corps comprit et répondit quasiment immédiatement. Alors que ses mains caressaient déjà ses cheveux, il baissa la tête pour regarder Duncan en fronçant les sourcils. Doucement, il se mit à la même auteur que l'homme de sa vie :
« Pourquoi ? »
Cela ne le rassurait pas du tout que Duncan ai prononcé ce nom, mais alors pas du tout ! Qu'est-ce qui allait encore ce passer ? Pour une fois est-ce qu'on pouvait laisser Gabin être heureux ? Il soupira, releva Duncan en même temps que lui :
« C'est le nom de code des hommes de Batlimore. Mes hommes de mains si tu veux. Pourquoi tu me demandes ça ? J'ai reçu un appel ? »
Le ton de sa voix avait un peu changé, si un Chuck appelait ce n'était pas bon signe, les plans avaient changés pour x raisons mais généralement c'était parce qu'il y avait des taupes dans le gang ce qui impliquait de faire des recherches et donc passer des heures à courir à droite et à gauche pour le trouer. Gabin leva ses mains pour les poser sur le visage de Duncan et l'embrasser. Il devait avant tout rassurer son petit-ami :
« Je n'aime que toi Duncan, ne l'oublie pas d'accord ? » |
| | |
I'm Duncan Burnett
→ MESSAGES : 83 → CÉLÉBRITÉ : Mathias Luaridsen → DOUBLE COMPTE : un jour peut-être... → CRÉDITS : Pour l'avatar c'est moi (Creamy Cheese) ^^ Le reste on verra !! → QUARTIER : Paradise Island → AGE : 26 ans → STATUT CIVIL : en couple avec un animateur radio qui voudrait me protéger d'un monde où le danger est permanent → EMPLOI/ÉTUDES : journaliste
More about me→ RELATIONSHIP: → HUMEUR: AMOUREUX ♥→ PLAYLIST: Christina Aguilera - Your body
| Sujet: Re: New home, new life. || Dunchéri Jeu 27 Sep 2012 - 11:23 | |
| Il arrêta tout lorsque Gabin s’agenouilla face à lui. Duncan le regarda innocemment. Il haussa les épaules pour répondre à la première question de son petit ami. Chuck était bien un mec. Un mec avec une voix sexy en plus. Alors il pouvait se sentir un peu jaloux. Mais en même temps, il avait appelé le chef de gang par son nom de famille. Qui pourrait baiser un type qui vous appelle par votre nom de famille ? Puis Gabin le releva.
« C’est le nom de code des hommes de Baltimore. Mes hommes de main si tu veux. Pourquoi tu demandes ça ? J’ai reçu un appel ? »
Duncan hocha la tête mais ne répondit rien. Il n’aimait pas cette histoire de gang. Il n’aimait pas que Gabin en fasse partie et il n’aimait pas non plus qu’ils appellent quand il était à la maison. Mais cela faisait partie de l’histoire de son homme et il ne changerait pas ça. Gabin avait ses raisons et il ne le jugerait pas. Il faisait avec, essayait de comprendre et, quand il n’y arrivait pas, il faisait comme s’il ne savait rien.
« Il y en a un qui a appelé. » expliqua-t-il d’un air triste. « Il a dit qu’ils attendent ta livraison à minuit pile à l’endroit prévu… »
Gabin savait ce qu’il pensait de tout ça et il n’avait pas besoin d’en rajouter. Mais il n’aimait vraiment pas ça et il ne savait pas faire l’hypocrite. Quand quelque chose le gênait, le blessait ou l’énervait, il ne pouvait que le montrer. Sa mère lui avait souvent répété que c’était le trait de caractère de son père. Un père qu’il n’avait pas connu mais qui tenait une place importante dans son cœur.
« Je n’aime que toi Duncan, ne l’oublie pas d’accord ? »
Dunc’ sourit à l’homme qu’il aimait et le serra un instant dans ses bras. Il passa un doigt sur le sang qui ornait le torse de Gabin. A la vie, à la mort. C’est ce qu’ils s’étaient promis. Duncan savait que son amant le prenait au sens littéral. Ils étaient inséparables désormais. Un vrai couple d’inséparables. S’ils étaient séparés trop longtemps, ils dépérissaient. Duncan en avait fait l’expérience lorsque Gabin était parti pour Baltimore. Il n’avait pas pu le suivre dans ce voyage car il devait participer à plusieurs conférences de presse dans la semaine, et il avait cessé de manger et avait tourné en rond jusqu’à ce que son aimé revienne. Il déposa un baiser sur les lèvres de Gabin puis alla dans la cuisine. Il s’alluma une clope, ouvrit une bière pour Gabin et un soda pour lui-même.
« Tu sais, j’ai pensé… » lança-t-il depuis la cuisine. « Et si on faisait mettre un jacuzzi sur la terrasse ? J’veux dire, c’est pratique pour se détendre. »
Il revint auprès de son homme et lui tendit la bière qu’il avait prise pour lui. Il posa son soda et repartit, cette fois en direction du salon. Dans la valise, il prit la trousse de secours et revint auprès de Gabin. Il sortit des compresses et du désinfectant et invita l’homme de sa vie à s’asseoir. En secouant la tête, légèrement dépité, il commença à nettoyer la plaie de Gabin.
« Quand t’arrêteras de t’estropier tout seul… » marmonna-t-il en souriant.
Il déposa un tendre baiser sur le nez de son petit ami, puis sur ses lèvres, avant de s’asseoir à califourchon sur ses genoux. Il passa sa main dans les cheveux de Gabin, se plongea dans ses yeux, puis l’embrassa à nouveau. Lorsque leurs lèvres se séparèrent, Duncan sourit et mit une petite tape sur le nez de Gabin du bout de son index.
« Comment j’pourrais l’oublier, Ducon ? » répondit-il enfin. « J’te rappelle que je suis là, avec toi, et que j’te laisse me faire des trucs pas très catholiques chaque fois que tu le veux… Faudrait être idiot pour pas aimer un type comme moi ! La question c’est plutôt : est-ce que moi je t’aime ? »
Il se mit à rire puis déposa un nouveau baiser sur les lèvres de son amant, passant sa main sur le torse nu de celui qu’il aimait. Il cambra le bassin afin que leurs virilités entre en contact puis posa son front sur celui de son petit ami. Il n’avait pas forcément besoin de répondre à la question. Son cœur appartenait entièrement au chef de gang. Il ne pouvait pas se passer de son odeur, de son goût, de sa vue, de son corps. Gabin était une drogue pour lui. Une obsession fixe.
« Je t’aime tellement que je voudrais même fonder une famille avec toi… » souffla-t-il alors que son rythme cardiaque s’accélérait, en proie au désir.
Duncan Burnett, un homme attaché à sa liberté, allergique aux enfants, souhaitait fonder une famille. Quand on connaissait le loustique, c’était surprenant. Il posa sa main sur la joue de Gabin et l’embrassa une nouvelle fois. Mais cette fois, ce fut plus long, plus passionné. Sa langue chercha celle de son petit ami et ses mains descendirent tranquillement le long de son dos.
|
| | |
I'm Gabin T. McGowan
→ MESSAGES : 55 → CÉLÉBRITÉ : Tom Hiddleston → DOUBLE COMPTE : Ava M. Hallaway → CRÉDITS : TayLor → QUARTIER : Paradise Island → AGE : 31 ans → STATUT CIVIL : En couple avec un journaliste qui pointe du doigt les méchants ! → EMPLOI/ÉTUDES : Animateur radio officiellement, chef d'un gang officieusement.
| Sujet: Re: New home, new life. || Dunchéri Jeu 27 Sep 2012 - 19:57 | |
| Tenter de rassurer son ptit-ami était devenu quelque chose un peu de quotidien, après tout il ne travaillait qu'avec des hommes et certains étaient... Vraiment sexy mais Gabin n'aimait que Duncan. Il le savait et il ne risquerait jamais de tout gâcher même bourré. Il était fidèle, quand il aimait la personne sincèrement il n'y avait pas plus fidèle que lui. Duncan hocha la tête : le chef jura intérieurement cela voulait dire qu'il allait devoir s'absenter encore et ça ne lui plaisait pas surtout qu'il lui avait promit de rester plus, d'être plus là à prendre soin de lui. De plus il savait que son petit-ami détestait cette histoire de gang et encore il ne savait que le minimum. S'il savait tout ce qui ce passait : il enchaînerait dans la cave Gabin probablement. Dur d rassurer quelqu'un alors que lui-même ne l'était pas : même s'il était le chef du jour au lendemain un mec des States pouvait venir et lui coller une balle dans la tête. Duncan ne le savait pas, avait-il besoin de le savoir ? Non. Gabin le serra un peu plus contre lui en lui disant qu'il l'aimait, il passa son doigt sur son torse ce qui fit sourire l'animateur qui le dévorait du regard. Il répondit à son baiser et tenta de le garder contre lui mais une fois de plus il lui échappait. Naturellement il jura dans sa barbe en pensant qu'il n'avait certainement pas envie de lui. Il soupira et s'alluma également une clope pour calmer ses nerfs. Il était tendu comme un string, entre la nouvelle de Chuck et sa frustration sexuelle sans oublier la veille : Gabin commençait à être à bout. Il écouta Duncan en attrapant la bière et haussa les épaules. Non pas qu'il s'en fichait mais cette maison serait plus celle de son petit-ami que la sienne, certes il avait dit qu'il serait plus là : le jour, pas la nuit. Et encore, dès que Duncan ne sera pas à la maison il ira travailler à la radio ou bien ira faire de la drogue pour approvisionner Baltimore ainsi que Gold Coast. Pour que le marché marche il faut crée une dépendance, cette dépendance avait été crée en amont et maintenant la plus parts des jeunes voulaient goûter à cette nouveauté. Gabin suivit du regard ses gestes tout en prenant une taff et une gorgée de bière. Il ne servait à rien de le soigner, il n'avait déjà plus mal. Docilement, il fallait en profiter, il s'installa dans le canapé et laissa Duncan nettoyer la plaie. Gabin répondit à son sourire, il n'avait pas mal : il avait connut pire.
« Je préfère me faire mal moi-même, au moins je sais que c'est superficiel. »
Gabin ferma les yeux en sentant les lèvres de son petit-ami sur son nez, répondit à son baiser et posa son dos contre le dossier pour pouvoir faire de la place à Duncan. L'animateur but cul-sec sa bière avant de la poser sur la table tout en gardant son petit-ami contre lui. Il plaça ses mains sur ses cuisses pour délicatement les caresser. Il plongea son regard dans le sien, retroussa son nez en sentant la petite tape :
« Eh je ne suis pas Orson. »
Bougonna-t-il pour toute réponse. Gabin savait que Duncan l'aimait, après tout ce qu'ils avaient vécut : s'ils ne s'aimaient pas c'est qu'il y avait un problème ! Cela sautait aux yeux qu'ils s'aimaient, c'est peut-être pour cela que Gabin se jetait à corps perdu dans cette relation qui cela ce trouve ne le mènera nulle part si ce n'est dans le trou... De toute façon on était tous condamné à y aller non ?
« En plus c'est même pas vrai que c'est quand je veux : depuis tout à l'heure je veux et on ne le fait pas... »
Mine d'enfant boudeur, il aimait bien redevenir un peu un enfant avec son petit-ami, c'était agréable. Pourtant, il retourna bien vite à la réalité et reprit sa place d'adulte en embrassant fougueusement son petit-ami. Gabin ravala son esprit enfantin en sentant sa virilité contre celle de Duncan. Ok c'est bon il était repartit pour un tour mais cette fois-ci : rien ne pourrait l'empêcher d'aller jusqu'au bout. Lorsque Duncan assura qu'il l'aimait, Gabin souriait de bonheur. Ce sourire qui ne réservait qu'à son petit-ami. Fonder une famille ? Avec la vie qu'il avait... Non... Pas tout de suite.
« Pourquoi pas... »
Gabin répondit par ces deux mots, il savait que Duncan et les enfants ça faisait 50000 et puis c'était le même cas pour lui. Il n'arrivait déjà pas à se gérer et à ne pas apporter de problèmes avec lui alors avec un enfant... Impossible. De plus il y avait toujours ce traumatisme de : « j'ai vu mon père mourir sous mes yeux à cause du gang. » et Gabin à trop peur que ça arrive à son enfant... Les séquelles sont plus qu'énormes puisque même à 31 ans il souffrait comme au premier jour. Le temps ne panse pas les blessures, c'est faux ! La langue de Duncan permit au cerveau de l'animateur de s'arrêter de penser et de laisser son autre cerveau parler. Gabin pressa son amant contre lui : une main sur sa virilité et l'autre sur sa nuque pour pas qu'il bouge. Il rentra délicatement en lui et gémit de plaisir tout en dévorant le coup de Duncan.
Mon dieu qu'il aimait cet homme.
|
| | |
| Sujet: Re: New home, new life. || Dunchéri | |
| |
| | | | New home, new life. || Dunchéri | |
|
Page 1 sur 1 | |
| Permission de ce forum: | Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
| |
| |
| |